Découvrez Yann Chatelin

Né à Calais en 1980, Yann Chatelin vit dans le Béarn depuis septembre 2020 après avoir passé plus de 15 années au Maroc.
Il découvre le dessin à 15 ans, inspiré par le graffiti qu’il pratiquera intensivement pendant 10 ans.

Du graffiti viendra son amour pour la lettre calligraphiée, pour les alphabets du monde, réels ou imaginaires. À
l’encre de chine, à l’acrylique ou à la bombe, tous les outils lui servent à sublimer l’écriture manuscrite, entre liés et déliés, fractures et graphismes, répétitions et enchevêtrements.

La lettre, le mot, la phrase, vecteurs de sens, de savoirs, supports de la mémoire collective et individuelle, sont au centre de l’oeuvre de Yann Chatelin.

Ses créations calligraphiques envahissent toiles et murs de Casablanca à Katmandou. De son travail sur l’écriture, il mène dans ses œuvres plus récentes une réflexion sur la disparition de l’écriture manuscrite au profit de l’écriture digitale. Cette dernière, déconnectée du geste cursif sur le papier est pour lui une simple trace binaire du mouvement des doigts sur un clavier.

Technologie qui se substitue à la réflexion individuelle, à la créativité.

Selon Yann Chatelin la digitalisation de l’écrit, prépare la disparition à la fois de l’individualité et de
la diversité.

Alors que chaque écriture manuscrite est unique, comme une empreinte, miroir de la
personnalité de son auteur, le clavier numérique lui, uniformise, déshumanise les textes, les lettres, les mots doux…

C’est ainsi que dans ses œuvres les personnages s’effacent, se liquéfient, se vectorisent, disparaissent. Métaphore de cette disparition progressive de l’individualité dans un quotidien de plus en plus technologique.

En contraste la calligraphie quant à elle est toujours très soignée, très marquée, pour montrer son importance et sa persistance.
Graphismes forts, contrastés et toujours dessinés à la main.

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Découvrez Yann Chatelin

Né à Calais en 1980, Yann Chatelin vit dans le Béarn depuis septembre 2020 après avoir passé plus de 15 années au Maroc.
Il découvre le dessin à 15 ans, inspiré par le graffiti qu’il pratiquera intensivement pendant 10 ans.

Du graffiti viendra son amour pour la lettre calligraphiée, pour les alphabets du monde, réels ou imaginaires. À
l’encre de chine, à l’acrylique ou à la bombe, tous les outils lui servent à sublimer l’écriture manuscrite, entre liés et déliés, fractures et graphismes, répétitions et enchevêtrements.

La lettre, le mot, la phrase, vecteurs de sens, de savoirs, supports de la mémoire collective et individuelle, sont au centre de l’oeuvre de Yann Chatelin.

Ses créations calligraphiques envahissent toiles et murs de Casablanca à Katmandou. De son travail sur l’écriture, il mène dans ses œuvres plus récentes une réflexion sur la disparition de l’écriture manuscrite au profit de l’écriture digitale. Cette dernière, déconnectée du geste cursif sur le papier est pour lui une simple trace binaire du mouvement des doigts sur un clavier.

Technologie qui se substitue à la réflexion individuelle, à la créativité.

Selon Yann Chatelin la digitalisation de l’écrit, prépare la disparition à la fois de l’individualité et de
la diversité.

Alors que chaque écriture manuscrite est unique, comme une empreinte, miroir de la
personnalité de son auteur, le clavier numérique lui, uniformise, déshumanise les textes, les lettres, les mots doux…

C’est ainsi que dans ses œuvres les personnages s’effacent, se liquéfient, se vectorisent, disparaissent. Métaphore de cette disparition progressive de l’individualité dans un quotidien de plus en plus technologique.

En contraste la calligraphie quant à elle est toujours très soignée, très marquée, pour montrer son importance et sa persistance.
Graphismes forts, contrastés et toujours dessinés à la main.

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Bibliographie

  • Avril 2012 : Dyptik Mag A+E  
  • Juin 2016 : Architecture et environnement magazine 
  • Octobre 2016 : Ocean Vagabond, couverture du magazine. 
  • Aout 2019 : « guide du street-art en France, éditions Gallimard. 
  • Septembre 2019 : « Acrylic, Do more art » éditions Laurence King Publishing
  • Septembre 2020 : « Street Art Africa », éditions Alternatives